Bonjour à tous ! Aujourd’hui, je voudrais partager avec vous mon expérience de jeûne de 3 jours complets
3 jours diront certains, c’est peanuts, niet, nada…bref, pas de quoi fouetter un chat. Mais alors pour moi, moi qui aime tant cuisiner et manger, moi qui ne peux pas rater un repas, c’était un vrai défi !
C’est pourquoi, ravie de cette expérience, je vais vous dévoiler ici tout ce que j’ai pu ressentir durant ces 72h hors du temps.
Alors, pour commencer, remettons-nous dans le contexte : c’était la fin décembre 2015, malgré mon régime alimentaire végétalien j’avais trouvé le moyen de bien enchainer les repas lourds : resto, gâteaux, crêpes et … beaucoup trop de chocolat. Et oui, qui dit végétalien ne dit pas forcément digeste !
Mon année 2016 débute donc avec un écœurement général de la nourriture (sensation absolument inédite pour moi), une sensation « d’étouffement » de mon organisme. Beurp
Le dimanche, je me dis « ok, ton repas d’anniversaire sera le dernier avant ton jeûne ! » (et non du tout, ce n’est pas parce que je me parle à moi-même en disant « tu » que je suis schizo). Le repas se termine vers 14h. Le seul hic: j’avais bu une coupe de champagne. Le soir, je me sens fiévreuse, j’ai la tête qui tourne. Ces sensations confirment ma décision: je me lance dans un jeûne, et pour cela je me fixe 3 jours. Je vais donc me coucher tôt le soir sans manger.
Le lundi matin, après une (très grosse) nuit réparatrice, je me sens beaucoup mieux, plus alerte.
Et là je me souviens de mon engagement de la veille: Rien qu’à l’idée de ne pas manger de la journée j’angoisse, mais ma motivation est plus forte, je vais tenir, et de toute façon je n’ai pas faim vu tout ce que j’ai encore dans le ventre de la veille !
Je me lève et bois donc un verre d’eau chaude avec du citron + une cuillère de miel . Le miel est déjà presque une entorse au jeûne « strict » car il apporte du glucose au corps mais pour adoucir ma gorge irritée cela me semblait important. Jusque là rien de très difficile car je ne déjeune pas chaque jour.
Et le sport ? Tant pis pour cette semaine, additionner jeûne + sport + travail me semblait trop risqué pour mon corps et mon esprit. Non, je ne voulais pas prendre le risque que cela m’épuise et me démoralise pour cette première expérience.
La matinée se déroule donc tranquillement à boire du thé vert. Arrivé 12h, mon ventre commence à grogner, mais plus par habitude que par vraie faim, plutôt parce que je vois mes collègues se préparant à manger. Je décide donc de sortir et de profiter du beau temps. Une fois assise dans un square en plein soleil de Janvier, un soleil franc malgré l’air froid, je me sens beaucoup mieux. Je ne ressens plus aucune faim et même l’odeur flottante de sandwichs ne m’intéresse pas !
Lundi après-midi : ce n’est officiellement plus l’heure de manger, mon mental se met donc en veille...mais jusqu’à quand ?
Au niveau des sensations physiques, je remarque plusieurs choses étonnantes :
- je ressens de légers tremblements, comme lorsque que je n’ai pas mangé depuis longtemps et que je fais une activité sportive. Sauf que là les tremblements durent peu de temps et ne sont que très légers ! Heureusement que je n’ai pas fait de sport le matin. Ces « tremblements » caractéristiques sont pour moi LE signe que mon corps a utilisé tout le glucose présent dans le sang et que maintenant il doit aller le puiser ailleurs. Parfait, c’est le principe du jeûne
- Autre impression étonnante : mes mâchoires « veulent » s’écarter toutes seules, comme lorsqu’on sent qu’on va vomir mais sans toutes les autres sensations désagréables. Puis ça passe, vraiment étrange, je ne me suis toujours pas expliquée cela.
- Je ne ressens absolument aucune sensation de faim, et contrairement à mes craintes il n’y a plus aucun gargouilli, mon ventre « s’endort » littéralement.
A 18h, mince, ça se complique. Par habitude, je commence à réfléchir à ce que j’aurais envie de manger, j’imagine des saveurs, des textures… Alerte, alerte ! C’est le retour de mon mental ! Et le pire, c’est que je n’ai pas faim, mon ventre est même encore un peu gonflé.
Je réalise alors quelque chose de surprenant : ce qui me manque, c’est de MÂCHER.
Et le soir, comment combler le temps disponible ?
Ranger l’appartement, jouer avec le chat, lire mon super bouquin sur le jeûne… Toutes ces occupations m’aident beaucoup, notamment la lecture du livre, en ce moment un peu difficile à passer. J’y apprends qu’il vaut mieux éviter de regarder la tv le soir, de ne plus boire d’alcool dans les 48h précédent le jeûne (Aïe ! je repense à ma coupe de champagne…), d’en profiter pour se recentrer, pratiquer une activité artistique ou méditer…
Je me couche vers 22h, avec une sensation de satiété étonnante. Je pense aux différents plats sur lesquels je bave d’habitude : rien. Rien, absolument rien ne me fait envie, je me sens bien, c’est tout.
En fait je me sens mieux que bien : je me sens très forte et prête à tout surmonter : je suis déterminée et motivée. Ce travail, je le fais pour mon ventre, pour moi, et pour surpasser ces habitudes ancrées dans mon mental (le plus dur)! J’ai appris plus tard que cette sensation de « puissance » était très courante et bénéfique durant les jeûnes.
Mardi matin, après un sommeil léger, à 6h45 je me réveille en pleine forme ! Mais…avec le ventre qui gronde !
Après 2 tasses d’infusion à la queue de cerise, je n’ai plus de sensation de faim, peut-être avais-je juste soif.
NB: Parfois quand le ventre gargouille le matin, c’est juste due à une déshydratation.
La matinée se déroule normalement malgré de légères sensations de faim…sacré mental ! Celles-ci sont heureusement extrêmement ponctuelles (quelques secondes à peine)
Il faut savoir que je travaille dans un lieu où il fait relativement frais. Or, la sensibilité au froid augmente en période de jeûne. Moi-même déjà assez sensible au froid, je décide de jouer sur le poncho + bouillotte sur le ventre (oui oui en mode « gros rhume »). Cette dernière a deux intérêts : elle me réchauffe et active le foie, organe essentiel dans la détoxination du corps. Et en effet, la bouillotte a un effet presque immédiat : je me sens beaucoup mieux !
En fin de journée, je me sens légèrement faible, je ne pourrais pas aller faire un footing là. Ça tombe bien personne ne me demande de courir
N’empêche, j’ai envie de manger, je n’ai pas faim, mais une envie folle, mes mâchoires s’ennuient de quelque chose à grignoter ^^
Mardi début de soirée : rebelotte, si mon ventre ne grogne plus depuis longtemps, mon mental me fait baver à l’odeur des restaurants ou en imaginant des plats savoureux.
Oui c’est officiel : je n’ai jamais autant fantasmé sur de la nourriture de toute ma vie que ce jour-là
La soirée s’annonce longue sans manger. L’objectif est donc simple : faire quelque chose pour m’occuper l’esprit et le corps, pour rentrer fatiguée avec une seule envie : dormir !
C’est ainsi que je vais me balader, et que je passe au centre commercial : sûrement pas l’idéal, mais le centre a ce jour-là l’avantage d’être particulièrement calme et peu rempli, je peux donc faire de petites emplettes sans problème malgré de légers tremblements de mon corps.
En revenant, je me sens de plus en plus fatiguée. Le sujet de la nourriture devient absolument obsessionnel, c’est presque risible au bout de seulement quelques jours.
Mardi, 20h30 : mes jambes sont flageolantes, je me sens vraiment faible. Très étrangement, les muscles des jambes sont à 2 doigts de lancer de douloureuses crampes, mes mollets sont très tendus. Ne serais-je pas assez hydratée ? Je prends une bonne douche qui me régénère et vais me coucher. Je suis déterminée à tenir jusqu’au lendemain, je me sens forte.
La nuit est étrange, je sens que mon corps se mets littéralement à « chauffer » comme pour un début de rhume, mais une chaleur qui n’est pas maladive, au contraire, une chaleur qui « enveloppe », réparatrice.
Mercredi matin au réveil : mon corps est encore flageolant et mes jambes très raides menaçant des crampes. Mais dès que je bois mes premières tasses d’infusion à la menthe, tout s’améliore.
La matinée au travail se passe normalement, la sensation de « tremblement » a quasiment disparu, je ne sens qu’une très légère fatigue en « fond ». Mes jambes sont encore assez raides (décidément !) mais rien d’inquiétant. Mon ventre, s’est évidemment un peu aplati et raffermi mais ce n’est pas flagrant.
Je ne ressens aucune faim réelle, seul mon esprit me joue des tours et je me retrouve à imaginer de la nourriture avant même de m’en rendre compte !
Plus que quelques heures et ça fera 3 jours.
Et Mercredi vers 15 h…
Ça y’est, j’ai tenu les 72 heures, je suis incroyablement fière de moi !
Vers 18h je me remets à manger en commençant par une soupe…une souuuupe ! Le bonheur ultime. Que dis-je, le nirvana même ! La voici en photo ci-contre (dans mon joli bol artisanal moulé à partir d’une vraie pastèque)
NB: Normalement pour les jeûnes « longs » (à partir d’une semaine), il est conseillé de reprendre progressivement l’alimentation en débutant par des aliments liquides (soupes, jus…). Mais j’avoue qu’au bout de 3 jours, en ce qui me concerne le besoin ne s’en faisait pas du tout ressentir !
Forcément, mon estomac s’est contracté, donc je me sens rassasiée devant une portion qui m’aurait bien fait rire quelques jours auparavant !
En définitive, quelles conclusions ?
Vous l’aurez remarqué, ce jeûne ce n’était pas que du plaisir. Mais aussi en grande partie parce que j’ai fait beaucoup d’impasses sur des choses importantes qui auraient pu m’aider (choisir de meilleures conditions, ne pas boire de thé etc). Tant pis (ou tant mieux!), je voulais tout vous partager avec entière sincérité.
- J’ai compris après que l’alcool que j’avais bu le dimanche et le thé que je buvais tous les jours ne m’ont sûrement pas aidée dans mon jeûne. Ainsi tous les « tremblements » dont je parle seraient dus à cela. A ne plus faire donc !
- Les conditions n’étaient pas optimales (j’allais au travail, j’ai mangé un repas relativement copieux avant mon jeûne, je marchais dans les rues près des restaurants) et pour me rendre l’expérience plus agréable, j’essayerai de veiller à mieux sélectionner les conditions. Après l’avoir vécu je comprends : on est réellement plus sensible à tout en période de jeûne, que ça soit positif ou négatif, il faut donc vraiment faire attention aux conditions.
- J’ai été extrêmement étonnée de voir que le ventre cesse très vite d’avoir faim et de gargouiller (en moins de 24h) mais que l’esprit lui, m’a tiraillée à chaque « heure de repas officiel » ! On imagine que l’on peut aisément surpasser son mental, je ne pensais sincèrement pas que cela serait aussi difficile pour moi. J’en ai tiré un très riche apprentissage sur moi-même.
- Je veillerai à beaucoup plus m’hydrater les prochaines fois et je surveillerai si de nouvelles « raideurs » des muscles surviennent
- Et physiquement ? Rien de visible si ce n’est que j’ai vu une tendance à la diminution des rougeurs et petits boutons sur la peau et surtout la disparition totale du rhume que je couvais le dimanche !
- Environ 1 mois après ce jeûne, je remarque que j’ai globalement moins besoin de manger, je ressens beaucoup plus vite la satiété et j’écoute davantage mon corps et surtout mon estomac !
Et enfin, j’ai remarqué un truc fou qui m’a bien fait rire : Jeûner c’est comme faire une séance de sport.
- Avant on le redoute, on se demande si on va y arriver,
- Pendant on passe par différentes étapes où l’on se sent soit fort, soit lassé,
- A la fin on se sent incroyablement fier.
- Et juste après on se dit « quoi, c’est déjà fini en fait?«
A ce sujet, je vous conseille de lire mon article sur le bien-être du sport ici
En conclusion, je suis tout à fait satisfaite de cette expérience que j’invite tout le monde à tester ! Si vous avez peur de manquer, ne vous inquiétez pas, 3 jours ne sont pas suffisants pour développer une quelconque carence et ne modifient pas en profondeur votre métabolisme.
Et après ?
C’est d’ailleurs parce que 3 jours ne « décrassent pas assez en profondeur » que j’ai testé un jeûne de 5 jours quelques mois après celui-ci !
Alors, affaire à suivre !
Et toi ? As-tu déjà jeûné ? Si oui, as-tu ressenti les mêmes choses que moi ? Décris-moi tout ça en commentaire ! Car on avance, ensemble
[…] avoir réalisé plusieurs jeûnes hydriques et pratiqué le jeûne intermittent, j’ai eu envie il y a quelques jours de tester le jeûne […]
bonjour, je suis venu sur votre blog car quelque chose se fait dont je ne connais pas la provenance je suis a mon 4 eme jour de jeune, sans boire ni manger et je ressens une sensation tres agreable de fraicheur un peu partout dans mon corps je me demande ce que c’est je n’ai aucune envie de manger je me sens tres bien, ce n’est pas la premiere fois que je fais cela, , la premiere fois j’avais ressenti cette sensation qui m’avait marqué positivement, c’est comme si on ressentait davantage de chose.. j’adore ce ressenti cette sensation de fraicheur un peu partout comme si on se sent briller, je vais poursuivre ce jeune juusqu’au bout de plusieurs jours encore je veux decouvrir ce qu’il y a derrniere tout cela
Bonjour Sheyan swain et merci pour ton beau témoignage 🙂 C’est drôle comme hasard car je viens justement de terminer un jeûne sec de 3 jours, et j’ai ressenti à peu près les mêmes choses ! Je ne ressentais pas spécialement de fraîcheur mais je me sentais en effet plus sensible à tout, de façon positive. C’est un des effets connu du jeûne, personnellement je me sentais apaisée, calme et plutôt joyeuse 🙂
Bravo pour ton jeûne et tiens-nous au courant de la suite ! 🙂
[…] quelque chose que j’ai beaucoup appliqué lors de mon jeûne de 3 jours que vous pouvez lire ici […]
[…] vous me suivez depuis un moment, vous le savez déjà sûrement, je suis une adepte des jeûnes (longs et intermittents) et de leurs bienfaits pour la santé et l’esprit. Et c’est mon […]
Hello !
En voyant la date de mon ancien post, les quelques mois entre les jeûnes se sont finalement transformés en années lol.
Cette année je suis repartie sur un jeûne de 3 jours après quelques semaines difficiles physiquement et mentalement (fatigue, perte d’énergie, perte d’appétit mais ventre toujours gonflé …). Bref, j’avais envie d’un bon départ à 0.
D’après tes conseils j’ai commencé à jeûner un dimanche après 15h pour que mes journées me paraissent moins longues.
– Jour 1 : Tout va bien. Aucune faim. Quelques légers mots de tête en fin de journée.
Je me suis beaucoup (trop) hydratée car à la fin de journée je ne pouvais plus rien boire (sensation de nausée). Je précise que j’ai travaillé toute la journée.
Nuit : Réveil à 5h30 avec une belle crampe d’estomac ! J’ai bu un verre d’eau que j’avais mis à côté de mon lit (expérience du jeûne passé), la crampe est vite partie donc j’ai pu me rendormir tranquillement.
– Jour 2 : Je sens que mon corps se met progressivement en mode « économie d’énergie ». Mes mouvements sont plus lents, j’ai besoin de faire quelques pauses après des escaliers. Au programme : sortie dans un parc avec une amie. Je me suis sentie apaisée, zen, calme malgré l’agitation dans le parc et dans les transports (grève). Je n’ai bu aucune infusion car la sensation de nausée revenait à la moindre odeur, du coup mon meilleur allié était l’eau. J’en ai bu 1,5L, ce qui est énorme pour moi. Je sentais cependant que mes intestins se contractaient parfois et étaient « bruyants » mais pas de douleur particulière.
Nuit : J’ai dormi comme un bébé.
– Jour 3 : Le début de la fin/faim. Réveil difficile avec de fortes nausées, une forte douleur en bas du dos. Mais je reste déterminée à attendre 12h pour la reprise alimentaire. La grève a eu raison de moi. Bouffées de chaleur, fourmis des mains jusqu’aux épaules (je n’avais jamais eu autant de sensation), l’impression que tout le monde me regarde, pliée en deux (impossible de me redresser) …J’étais à deux doigts du malaise. Heureusement je suis vite descendue et j’ai été acheter un jus de légumes (épinard concombre pomme).
Un peu déçue d’avoir arrêtée avant le jeûne mais je ne me sentais pas aller travailler dans ces conditions.
Globalement je te rejoins sur l’envie OBSESSIONNELLE de nourriture. Je n’avais pas faim mais j’ai passé mon temps à regarder de nouvelles recettes (sucrée – salée) et à parler de bons petits plats. Malgré toutes les tentations que je regardais (burger, pizza, gâteau au chocolat…), j’avais une envie de dingue de manger une banane bien mûre lol.
Ce 3ème jeune s’est beaucoup mieux passé que les précédents. Les sensations désagréables ne sont apparues qu’à la fin du 3ème jours. Je pense que l’année prochaine je tenterai un jeûne de 4 jours pour laisser mon corps se détoxiquer à fond.
Je pense que le fait d’être venue végétarienne (+ reprise sérieuse du sport) depuis 2 ans m’a beaucoup apporté. Il y a deux ans j’avais déjà des symptômes dès le premier jours VS aujourd’hui au 3ème.
Je te remercie pour tes précieux conseils pendant/et après le jeûne, notamment pour la reprise alimentaire qui était un vrai casse tête 🙂
bravo ! perso j ai réussi que 2 jours,et j ai fait le régime des hôtesses de l air pendant 4 jours ,bientôt peut être ,merci pour votre témoignage.fred
Coucou !
Je peux enfin laisser mon commentaire 😀
Ayant fait quelques mois avant un jeûne de 2 jours j’ai remarqué que les « symptômes » n’étaient bizarrement pas les mêmes. J’ai ressenti davatange de fatigue dès la première journée malgré les activités que je m’étais préparée (cinéma, balade, ranger mes affaires …). Le matin du 2ème jour a été difficile (nausée) mais après une grande tisane et beaucoup d’eau je me suis sentie beaucoup mieux en début de matinée (après tout c’est mon corps qui se détoxiquait !). En revanche, je n’ai pas eu de douleurs à l’estomac, peut-être aussi car j’ai été plus vigilante côté hydratation..
Comme toi, j’avais les jambes lourdes et la sensation que ma vision était au ralenti, que tout bougeait plus vite que moi ! J’ai remarqué une sensibilité poussée à ce qui m’entourait (la vision de détails dont je n’avais jamais prêté attention, des situations autours de moi), je dialoguais plus facilement avec les gens dans la rue par exemple.
En tout cas, je garde globalement un excellent souvenir et depuis la reprise alimentaire, je me sens légère, bien dans mon corps ! A refaire (mais dans quelques mois 😉 ).
Merci pour ton article qui m’a beaucoup aidé lors de ces trois jours 😉
[…] avez aimé mon 1er article sur le jeûne ? Aujourd’hui je reviens avec une nouvelle expérience, ou comment jeûner à […]
Coucou 🙂
Je n’ai jamais jeûné mais ça fait longtemps que j’aimerais bien essayer sans vraiment en avoir le courage…
Ton témoignage est vraiment intéressant ça m’a encore plus donné envie d’essayer.
Coucou Carofoliz !! 🙂
Je suis très heureuse que mon expérience t’ai donné envie de sauter le pas !
Bien que, comme je le décris dans mon article, je n’ai pas tout fait parfaitement (loin de là 😉 ), cette expérience a en effet été très enrichissante et m’a appris beaucoup de choses sur moi-même.
D’ailleurs je pense écrire d’autres articles à ce sujet.
A très vite !
Veggiebises 😉
Super ton témoignage, ça m’a appris plein de choses sur le jeûne 🙂 Pour ma part, je n’ai jamais tenté l’expérience mais je me lancerai peut-être un jour !